octobre, 2016

Mort et vie de l’AÉCG

L’Accord économique et commercial global (AÉCG) n’était pas aussi mort que ce que la ministre canadienne Chrystia Freeland pouvait nous laisser entendre vendredi dernier. Les parties belges en sont finalement arrivées à une entente. Cela ne signifie pas que l’AÉCG a été signée, les Wallons ont plutôt signifié qu’ils allaient surveiller de près les prochains développements pour s’assurer que les concessions arrachées soient véritablement respectées.

Une province se défait

C’est la rentrée littéraire des essais. La période de l’année où les auteurs politisés publient des essais sur le Québec, son passé, son avenir, sa nostalgie. Les essais politiques axés sur la question nationale font partie des choses que j’aime du début de l’année ; ils arrivent au moment où tombent les feuilles, comme s’évanouissent souvent les espoirs chez les souverainistes pessimistes, comme l’est mon collègue blogueur et ami Simon-Pierre Savard-Tremblay.

Chapeau, les Wallons !

L’Accord économique et commercial global (AÉCG) est mort. La Wallonie vient tout juste d’envoyer un formidable message aux « élites » mondialisées, qu’elles soient d’Europe, du Canada et même du Québec, à l’effet que ses diktats et ultimatum ne l’impressionneront pas, tant et aussi longtemps que ses demandes ne seront pas respectées.